Sir Philip Anthony Hopkins est de retour en vacances, en Italie, à la frontière entre l’Ombrie et la Toscane, à deux pas du lac Trasimeno, qu’il dit aimer beaucoup.
Le mythe d’Hollywood, 83 ans, lauréat de l’Oscar du meilleur acteur pour « The Father », ne s’est pas présenté à la récente cérémonie à Los Angeles, au Dolby Theatre, pour retirer la précieuse statuette, préférant d’abord rester dans son pays de Galles, puis partir pour le Belpaese. Après, cependant, avoir été vacciné.
On le voit ici à Cortona, en touriste. Il a été immortalisé, avec sa femme, par une série de clichés, des habitants et des commerçants de la Via Nazionale, la rue principale de la petite ville d’Arezzo. Photos publiées ponctuellement sur les réseaux sociaux. La star a réaffirmé qu’il était revenu « pour faire du shopping, profiter de la beauté de la ville étrusque et manger les produits typiques de la région Toscane-Umbrie ».
Déjà en 2009, rapporte le journal en ligne Umbria24, l’acteur britannique naturalisé américain était l’invité du « Toscana Sun Festival » de Cortona, où, au théâtre Signorelli, a été jouée pour la première fois sa composition musicale, « Winter’s Waltz », et ont été exposées certaines de ses peintures. Après tout, Anthony Hopkins a souvent dit que « devenir acteur était une solution de repli et que ses véritables passions étaient la musique et la peinture ».
Ses peintures ont un style naïf qu’il décrit comme enfantin, ce sont des sérigraphies et des acryliques sur toile inspirées de ses rêves qu’il crée en utilisant non pas des pinceaux ordinaires mais un couteau. Parlant de son travail, l’acteur a déclaré : « Le visage n’est pas important. Ce sont les yeux. Les yeux sont la partie la plus troublante de l’âme. C’est très primitif. C’est de l’art enfantin. Il faut que ce soit enfantin parce que je suis toujours un enfant. J’ai récemment découvert que j’aime tout ce qui est normalement mauvais pour moi aux yeux des autres. Avec la peinture, je pourrai peut-être atteindre le divin. »
(Photo Getty Images)
